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2001 L'Homme qui calculait 

Titre: L'Homme qui calculait 
Auteur : Malba TAHAN 
Illustration de couverture : Loustal
Editeur : Hachette jeunesse
Genre : Jeunesse
Prix éditeur : 78,70 FRF / 12,00 Euros
ISBN : 2012007465
Parution en 17 octobre 2001 
288 pages 
Hachette Jeunesse 
(Le Livre de poche Jeunesse)
Chroniques et points de vue
Traduit du portugais par Violante do canto et Yves Coleman.


A partir de 12 ans et pour adultes. 
Bagdad au XIII° siècle. Un berger génial, Beremiz, étonne tout le monde par l'étendue de ses connaissances et sa capacité à résoudre les problèmes les plus divers... Un conte oriental qui semble tiré des Mille et une nuits. 


Langue Français Éditeur : Hachette (16 mars 2005)
Collection : Le livre de poche jeunesse
Format : Broché - 347 pages
ISBN : 2013211589
Dimensions (en cm) : 13 x 3 x 18

L'Homme qui calculait est un roman jeunesse très original: on suit l'évolution de Beremiz, un jeune berger qui épate le cheikh iezid grâce à ses prouesses mathématiques. Il rejoint le palais pour devenir le précepteur de Telassim, la fille du cheikh. Au cours de son voyage, il fait beaucoup de haltes où il résout aisément et rapidement tous les problèmes de calculs, commerce, héritage, répartition....
Le récit est découpé en courts chapitres, chacun raconte une aventure différente avec, à la clé, une résolution de problème concret.
Ce n'est jamais "rasoir" (même pour ceux qui, comme moi, considèrent les maths comme de la magie quelque part...ou qui y sont un peu allergiques!). L'histoire d'amour de Beremiz et Telassim est en filigrane, mais devient essentielle quand Beremiz doit triompher des épreuves pour gagner sa belle.
C'est un roman jeunesse, c'est vrai, mais je suis sûre que j'ai retenu plus de trucs en le lisant qu'en une année de cours... Sans vouloir offenser les passionnés! A conseiller aux ados en général, les filles, les garçons, ceux qui détestent les maths et ceux qui les aiment!

"Les mathématiques, mademoiselle, qui enseignent à l'homme à être simple et modeste, sont à la base de toutes les sciences et de tous les arts.
J'illustrerai cette assertion par le récit d'un épisode de la vie d'un célèbre roi yéménite.
Asad Abou Karib, roi du Yémen, faisait parfois la sieste dans la grande véranda de son palais. Un jour, il rêva que sept jeunes filles marchaient dans le désert. Epuisées et mourant de soif, elles furent obligées de faire une pause sous le soleil accablant. Soudain, une belle princesse apparut, s'approcha des voyageuses et leur présenta une grande cruche remplie d'eau pure et fraîche.(...)
A son réveil, impressionné par ce rêve mystérieux, Asad Abou Karib convoqua un astrologue célèbre, du nom de Sanib, et lui demanda de lui expliquer le sens de la scène à laquelle lui, roi puissant et juste, venait d'assister dans le monde des Visions et Fantasmagories.
"Maître, lui répondit alors Sanib l'astrologue, les sept jeunes filles qui marchaient dans le désert sont les arts divins et les sciences humaines: la peinture, la musique, la sculpture, l'architecture, la rhétorique, la dialectique et la philosophie. L'obligeante princesse qui est venue à leur secours symbolise la grande et prodigieuse mathématique. Sans l'aide de la mathématique, poursuivit le sage, les arts ne peuvent progresser et toutes les autres sciences périclitent."

Il conclut avec enthousiasme:
"Macha Allah! Quelle merveille! Ce jeune homme me semble très savant et fort habile en matière de calculs. De plus, il s'est montré généreux envers son compagnon et ami. Je veux qu'il devienne, dès aujourd'hui, mon secrétaire particulier!
- Ô puissant vizir, répondit l'homme qui Calculait, je vois que vous venez de m'adresser, en 40 mots et 190 lettres, le plus bel éloge que j'aie jamais entendu. Pour vous remercier, je vais être obligé d'employer au moins 59 mots qui forment un total de 288 lettres, soit presque le double. Qu'Allah vous bénisse et vous protège!"
En entendant ces dernières paroles, nous fûmes tous émerveillés par sa subtilité et son talent extraordinaires. Ainsi, le Calculateur Prodige était même capable de compter les mots et les lettres d'une phrase qu'il venait d'entendre ou qu'il était en train de formuler!

"Libérez les oiseaux!" répéta le cheikh en agitant sa main couverte de bagues étincelantes.
Les hautes portes du grillage métallique s'ouvrirent. Par groupes ou par paires, les captifs quittèrent leur prison et s'éparpillèrent dans les frondaisons du jardin.
"Chaque oiseau qui déploie ses ailes est comme un livre qui s'ouvre dans le ciel. Quel horrible crime de piller ou de détruire cette bibliothèque miniature créée par Allah!"

Chapitre I


Ce chapitre est raconté comme le narrateur venue d'un tour de la ville de Samarra retour à Bagdad lorsque sur la route est un voyageur assis sur une pierre, quand il est allé saluer le voyageur se leva et dit d'un million 423 745. Après un moment, il se assit et se leva de nouveau et dit, 'Deux millions 321 866. Voyageurs Je ai ensuite été approché et le salue et lui demande ce que ces chiffres signifiaient. L'homme qui comptait lui a dit avant de dire que cela signifiait qu'il allait courir avant l'histoire de sa vie.


Chapitre II


Le voyageur dit Beremiz appelé Samir et est né en Khoi en Perse. Quand il était jeune travail en tant que pasteur d'un homme riche. Beremiz souciait pour les brebis de cet homme. Tous les jours avant la nuit les a pris dans sa bergerie, et de peur de perdre les plusieurs fois compté un jour. Ce est seulement après l'acquisition de compétences avec un coup d'oeil pouvait compter. Beremiz lui qui est venu sur conto vacances à Bagdad et d'éviter l'ennui est venu compter le nombre d'arbres qu'ils avaient. Le narrateur raconte Beremiz que vos compétences seront très facile de trouver du travail à Bagdad. Beremiz décide d'aller à Bagdad avec son nouvel ami. Beremiz était 27 et était doué d'intelligence extraordinaire.



Chapitre III


Quand ils étaient sur la route sont trois hommes se disputent. Ils se sont approchés et les hommes leur ont dit le problème. Et le problème, ce est qu'ils étaient des frères et l'héritage de son père mourant je laisse 35 chameaux. Lorsque frère aîné correspondait moitié, la médiane et le troisième plus petit neuvième. Ils ne pouvaient pas repartír selos que 35 est un nombre impair. L'homme qui comptait puis prendre le chameau de son ami et il a ajouté à la 25 autres pour faire un total de 36. Puis il se approcha du frère aîné et lui a donné 18 chameaux, la médiane ...