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2008  Série d'estampes de l'Atomium

Loustal

Série d'estampes de l'Atomium Publié le 08/03/2008
Formaat: 60 x 80 cm
Papier: Vélin bfk Rives 270 gr
Druk: artistieke seriegrafie
Verkoopprijs: 150 euro
Oplage: 199 genummerde en door de kunstenaar gesigneerde exemplaren
Editions Champaka - 31, avenue Gounod - 1070 Bruxelles – 02/ 346 11 12
www.champaka.be

LES ÉDITIONS CHAMPAKA organisent une conférence de presse de la première série d’estampes consacrées à l’Atomium. François Avril, Philippe Berthet, Jacques de Loustal et Eric Verhoest (Editions Champaka Brussels) débattront à cette occasion de l’imagerie créé 50 ans plus tard en hommage au symbole des “glorieuses”.

Réunis par les éditions Champaka, François Avril, Ted Benoit, Philippe Berthet, Dupuy & Berberian, Ever Meulen,Floc’h, Vittorio Giardino, Jean-Claude Götting, André Juillard, Jacques de Loustal, Frank Pé, François Schuiten, Joost Swarte et Bernard Yslaire ont chacun réalisé une oeuvre ayant pour sujet l’Atomium. Cette collection d’estampes originales est destinée aux amateurs de bande dessinée et/ou aux amoureux de l’Atomium. Elle paraîtra en deux « saisons » : avril et septembre 2008.


Loustal: Le Soir, 13-08-2008 P. 35

 



Lieu : La librairie Brüsel à partir de 11h
http://www.brusel.com/
 


La librairie Brüsel
Boulevard Anspach 100,
1000 Bruxelles


Pays : Belgique

Date de l'événement : du 18/03/2008 au 18/03/2008.



Champaka: 14 stripauteurs brengen hommage aan het Atomium

Bij mekaar gebracht door uitgeverij Champaka maakten François Avril, Ted Benoit, Philippe Berthet, Dupuy & Berberian, Ever Meulen, Floc’h, Vittorio Giardino, Jean-Claude Götting, André Juillard, Jacques de Loustal, Frank Pé, François Schuiten, Joost Swarte en Bernard Yslaire ieder een werk met het Atomium als onderwerp. Deze collectie originele prenten is bestemd voor de stripliefhebbers en/of de Atomium-verliefden. Ze zal in twee “seizoenen” verschijnen: maart en september 2008.

Al naargelang de gevoelens die dit emblematische monument bij hem opwekt, plaatste elke kunstenaar zijn compositie in een “jaren 50” of een hedendaagse of zelfs futuristische sfeer. Het onderwerp is het Atomium zelf (vooraan of als achtergrond) ofwel de “spirit” van dit monument.
In artistieke seriegrafie gedrukt op hoog kwaliteitspapier maakt elke prent deel uit van een genummerde en door de kunstenaar gesigneerde oplage.

Een samenkomst debat wordt voor de pers op 18 maart om 11h aan de boekhandel Brüsel georganiseerd in aanwezigheid van de auteurs (Bld Anspach, 100 - 1000 Brussel).

Eigenschappen:

Formaat: 60 x 80 cm
Papier: Vélin bfk Rives 270 gr
Druk: artistieke seriegrafie
Verkoopprijs: 150 euro
Oplage: 199 genummerde en door de kunstenaar gesigneerde exemplaren
Editions Champaka - 31, avenue Gounod - 1070 Bruxelles – 02/ 346 11 12


1990 Une party chez L'Arumbaya

 


 

LOUSTAL INVITE LE CONGO AU PIED DE L‘ATOMIUM 
"Atomium - Le pavillon du Congo" 
Sérigraphie sur papier Vélin bfk Rives 270 g 
Éditée à 199 exemplaires 
Numérotée et Signée 
Année 2008

 


24/01/08 The magic of colour for an African Atomium Jacques de Loustal, an acknowledged master of colour, has completed “Le pavillon du Congo à L’Expo ’58” – a triumph! What are his thoughts on the Atomium? “It’s a symbol of Brussels, a sense of the modernity of Brussels in relation to Paris. It’s part of an ambience you might call futuristic retro. I was very taken by its extraterrestrial quality, its strangeness with regard to its environment. As it happens, it’s not actually easy to draw in perspective and, for that reason, it’s better to draw it from photos…”

24/01/08 Magie des couleurs pour l'Atomium africain Jacques de Loustal, le maître des couleurs, a achevé « Le pavillon du Congo à L’Expo ‘58 ». Magnifique ! Que pense-t-il de l’Atomium ? « C’est un symbole de Bruxelles, une idée de la modernité à Bruxelles par rapport à Paris. Il s’inscrit dans une ambiance de futurisme rétro. J’ai été frappé par son côté extraterrestre, son étrangeté par rapport à soin environnement. Par ailleurs, il n’est pas facile de le mettre en perspective et, dans cet esprit, il vaut mieux le dessiner d’après photo que sur le motif… »


20/01/08 Loustal completes the inking of his “African” Atomium! Loustal has just completed his drawing dedicated to the 1958 World Expo in Brussels. The author of “Kid Congo” tells us that “the Atomium has such an identity that it’s easy to suggest it. I wanted to convey the contrast between the Congolese village that borders on science-fiction and the staged arrangement of the African statues.” A few days’ patient waiting and we will finally know the colour treatment…

20/01/08 Loustal termine l'encrage de son Atomium "africain"! Loustal vient de terminer son dessin consacré à l’Exposition Universelle de Bruxelles 1958. L’auteur de « Kid Congo » confie que « l’Atomium a une telle identité qu’il est facile de l’évoquer. J’ai voulu traduire le contraste entre le village congolais qui côtoie la science fiction et la mise en scène du statuaire africain ». Encore quelques jours de patience avant de découvrir la mise en couleurs…

 

http://www.actuabd.com/spip.php?article6480

Loustal et Eric Verhoest, devant le portofolio regroupant les estampes "Quant à moi, conclut Loustal, cet assemblage de boules et de tubes m’a rappelé les exercices de perspectives qu’on nous imposait en architecture.


Jacques de Loustal - Le pavillon du Congo à l’Expo ’58 J’avoue m’avoir fait aidé par Götting pour corriger mon dessin. Mais derrière le monument en lui-même, j’ai souhaité accentuer le contraste entre la modernité de la ville et ce qu’on pouvait retrouver au sein de l’Expo ’58. C’est aussi un lien indirect entre l’Atomium et la BD, car lorsqu’on évoquait Bruxelles, je pensais automatiquement aux têtes de Tintin et Milou qui trônaient au-dessus du Lombard. J’ai donc placé une allusion au fétiche Arumbaya. Je me suis surtout beaucoup amusé avec les ombres et lumières sur les statues. C’est la couleur qui fait la richesse des estampes, et grâce aux passages multiples, on peut dégager plus de nuances qu’une impression classique. Enfin, j’ai évité le ciel bleu, trop froid dans l’ensemble de la composition, pour lui préférer des tons jaunes et gris pour rendre un hommage à Jacobs !

LOUSTAL INVITE LE CONGO AU PIED DE L‘ATOMIUM

Jacques de Loustal, le dessinateur-voyageur, sait que l’exotisme se niche au coin de chacune de nos rues. Si les décors tropicaux l’attirent, il n’a jamais délaissé les paysages du Nord. C’est donc avec plaisir qu’il a baladé son regard graphique au cœur de l’Expo ’58, pour retrouver la Belgique congolaise.

Loustal avait deux ans au moment de l’inauguration de l’Exposition universelle de Bruxelles. Il se souvient d’avoir découvert les formes atypiques de l’Atomium « dans une bande dessinée, je ne sais plus laquelle. » Depuis, il l’a visité et, alors qu’il remplit ses carnets de nombreux croquis lors de ses voyages aux quatre coins du monde, les formes du monument le laissent perplexe : « Il vaut mieux le dessiner d’après photo que sur le motif. »

Parisien, le dessinateur de « Cœurs de sable » voit dans l’Atomium « un symbole de Bruxelles, une idée de la modernité à la capitale belge par rapport à Paris. » Pour lui, la ligne claire d’Hergé correspond peu à l’esprit du monument. « Franquin et l’école de Marcinelle lui sont indubitablement liés, et un peu Jacobs. Pour moi, l’Atomium s’inscrit dans une ambiance de futurisme rétro. » D’aucuns auraient pu croire que Loustal serait en décalage avec les liaisons graphiques auxquelles est souvent relié l’Atomium. Le « Dictionnaire mondial de la bande dessinée » (Larousse - 1999) ne précise-t-il pas que « ses inspirations ne se situent pas du côté de la bande dessinée mais se réfèrent plus à la peinture (Fauvisme, David Hockney, etc.) et au cinéma (Wim Wenders) » ? Ce serait oublier que le but de la collection « Atomium 1958-2008 » est justement d’ouvrir de nouvelles portes ; d’échapper aux images attendues.

« Le bâtiment, confie l’auteur de « Kid Congo », a une telle identité qu’il est facile de l’évoquer. Même si son côté extraterrestre, son étrangeté par rapport à son environnement provoquent parfois des difficultés de mise en perspective. » Loustal opte pour un choc des civilisations, en restituant une partie du pavillon du Congo et du Ruanda-Urundi, alors colonies belges. « Le contraste entre le village qui côtoie la science-fiction m’intéressait. Et comme je ne suis pas totalement sensible à l’art africain qui était montré dans ce pavillon, j’y ai convié des fétiches et des « colons » qui me sont plus proches. » Des visiteurs très particuliers qui rappellent ceux d’« Une party chez l’Arumbaya », une estampe éditée, en 1990, par Champaka.


Le Pavillon du Congo à l'Expo '58
L : 60,0 cm – H : 80,0 cm
Papier : Vélin bfk Rives 270 g
sérigraphie artistique
Nombre d'exemplaires : 199
Numéroté – Signé
Date de mise en vente : 18/03/2008

 

LOUSTAL BRINGS THE CONGO TO THE FOOT OF THE ATOMIUM

Jacques de Loustal, artist and inveterate traveller, knows that the exotic lurks in every nook and cranny of our streets. He may be in thrall to the tropics, but for all that he has never abandoned Northern climes. He took great pleasure in surveying Expo ’58 with his graphic gaze, rediscovering in the process the Belgium of the era of the Congo.

Loustal was only two years old at the time of the inauguration of the Brussels World Expo. He recalls seeing the unique skeletal form of the Atomium “in a bande dessinée, I can’t remember which one.” He has since had occasion to visit it and is perplexed by its elusive quality. Normally, his travels all over the world result in notebooks crammed with sketches; the Atomium, however, is less cooperative. “It’s actually better to draw it from photographs than in the field.”

A Parisian, the artist behind “Coeurs de sable” sees in the Atomium “a symbol of Brussels, a sense of the modernity of the Belgian capital in relation to Paris.” For him, the Hergéan “ligne claire” style has little connection with the emblematic monument. “Franquin and the Marcinelle school are inextricably linked to it, and Jacobs, to a lesser degree. For me, the Atomium is part of an ambience you might call futuristic retro.” Many might have considered that Loustal would be somewhat out of step with the graphic trends that are typically associated with the Atomium. Does the “Dictionnaire Mondial de la bande dessinée” (Larousse – 1999) not state “his inspirations are not drawn from the world of bande dessinée, but rather from the world of painting (Fauvism, David Hockney, etc.) and cinema (Wim Wenders)”? That would be to overlook the aims of the “Atomium 1958-2008” collection; namely, to open up new vistas; to go beyond the expected visual responses.

The author of “Kid Congo” confides that “The structure has such a strong identity that it’s easy to suggest it, even if its extraterrestrial quality and its intrinsic strangeness in relation to its environment cause problems with perspective.” Loustal here opts to portray a clash of civilisations in his restoration of a portion of the pavilions of the Congo and Ruanda-Urundi, which at that time were Belgian colonies. “The inherent contrasts between this village and the science-fiction presence on its doorstep interested me. And as I am not entirely attuned to the type of African art featured in the pavilion, I grouped some fetish statues and “colonials” that are more in keeping with my style.” Whatever their inspiration, they make very striking visitors and are strongly reminiscent of the figures that populated “Une party chez l’Arumbaya”, a print published, in 1990, by Champaka.


encre de couleur originale signée Loustal format 21x28


site champaka 2008
 

A l’occasion du cinquantenaire de l’Atomium, construction emblématique de Bruxelles et édifice légendaire pour les amateurs de ligne claire, les éditions CHAMPAKA vont revisiter le mythe de l’expo 58 à travers une formidable collection d’estampes originales.

Eric VERHOEST, chef d’orchestre de la prestigieuse maison d’édition, a eu la très bonne idée de solliciter plusieurs artistes de la bande dessinée européenne pour rendre un hommage à la célèbre création de l’ingénieur André WATERKEYN, chacun d’entre eux ayant carte blanche pour livrer une composition ayant pour sujet le prestigieux monument bruxellois.

Eric VERHOEST : « les droits sur ce monument sont désormais protégés par le copyright. Fort de l'image de marque de CHAMPAKA, j'ai trouvé un accord avec les détenteurs de ces droits. Je leur ai tout simplement proposé de réunir, au sein d’un projet commun, le Gotha du Neuvième Art et l’Atomium ! En effet, quoi de plus logique que de faire le lien entre ces deux grands atouts « belges » ? Ma volonté a donc été de réunir autour de ce projet des signatures prestigieuses de la bande dessinée européenne. En fonction de ses intérêts, chaque artiste placera sa composition graphique dans un esprit «années 50» ou plus contemporain, si pas futuriste. Le sujet pourra être l'Atomium lui-même (en vedette ou en « background ») ou bien l' «esprit» du monument et/ou de son époque ».

Le programme annoncé est particulièrement enthousiasmant ! En effet, quatorze sérigraphies à tirage limité et signé (199 exemplaires chacune) paraîtront en deux « saisons », en avril puis septembre 2008.

Au programme de la « saison 1 », on trouvera François AVRIL, Philippe BERTHET, FLOC’H, Jean-Claude GOTTING, André JUILLARD, Jacques de LOUSTAL, Joost SWARTE. La « saison 2 » nous proposera des créations de Ted BENOIT, DUPUY & BERBERIAN, Vittorio GIARDINO, Ever MEULEN, Frank PE, François SCHUITEN et Bernard YSLAIRE.

On ne peut que se féliciter de la présence de plusieurs tenants de la ligne claire dans cette prestigieuse liste ! Quoi de plus naturel quand on sait combien l’exposition universelle 1958 et son fameux « Style Atome » ont eu une influence déterminante sur l’approche esthétique de plusieurs dessinateurs de bande dessinée.

Eric VERHOEST le rappelle d’ailleurs fort bien : « Notre axe éditorial initial repose sur la « nouvelle ligne claire » dont un des fondements est le « Style Atome ». Ce style, apparu à l’aube des années 80, revisite de manière (post) moderniste la ligne claire hergéenne et l’éternel dynamisme du trait de FRANQUIN. Ses porte-drapeau furent CHALAND, Serge CLERC, FLOC’H et Ted BENOIT. L’appellation « Style Atome » est une référence immédiate à l’Atomium, inauguré à une époque où FRANQUIN, WILL ou TILLIEUX concevaient leurs grands chefs-d’œuvre. Sans oublier que le monument (au premier degré) et le style (au second degré) transmettent une joie de vivre et un optimisme dans l’avenir ».

Par pur souci de ne pas dévoiler ces belles pépites à venir, je vous laisserai le plaisir de les découvrir sur le beau site internet Champaka dont la mise en ligne est désormais annoncée pour le début mars.

A travers cet hommage à l’Atomium, Eric VERHOEST s’inscrit dans la droite ligne des éditions MAGIC STRIP dont il fut d’ailleurs l’un des collaborateurs. En effet, la fameuse Etoile de l'Expo 58, créée par Lucien De ROECK, est pour tous les amateurs de ligne claire étroitement associée à la mythique collection Atomium des frères PASAMONIK. On se rappellera également qu’en 1983, à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire de l’exposition universelle de Bruxelles, MAGIC STRIP avait publié L’expo 58 et le style atome, un ouvrage incontournable et malheureusement épuisé depuis belle lurette qui nous proposait d’excellents textes sur le style atome dans le graphisme, l’architecture, la décoration, la bande dessinée…avec de superbes contributions graphiques de SWARTE, MEULEN, FLOC’H, CLERC, CHALAND… *

En nos temps de désillusions et de peur de l’avenir, on ne peut que se réjouir d’être invité à replonger dans une exposition universelle emblématique d’une société pleine d’espérance, confiante dans le progrès, la modernité et le bonheur… en pleine guerre froide !

Pour plus d’infos :
www.champaka.be
www.atomium.be site officiel de l'Atomium

*Ces illustrations sont pour la plupart reprises dans L’expo 58 et les fifties, un ouvrage récemment publié par les éditions Versant Sud. Selon le principe de la collection Au fil de la BD dans lequel il s’inscrit, ce livre propose une évocation du contexte historique dans lequel se déroulait l’expo 58 avec des illustrations extraites de plusieurs bandes dessinées. Si le propos de l’auteur, Pierre STEPHANY, s’éloigne le plus souvent de l’expo proprement dite et propose un tableau assez banal de la Belgique des années 1950 – en se perdant dans des anecdotes et des détails parfois inutiles – l’iconographie proposée n’est pas inintéressante par son condensé d’illustrations style atome. Un aperçu de l'ouvrage est disponible sur le site de l'éditeur


http://klarelijninternational.midiblogs.com/

 


Loustal 19


CARTE PRIVEE
Carte de voeux 1987 réalisée pour un ami